Thérapie par cellules souches en Turquie

Tout savoir sur la thérapie par cellules souches en Turquie ! Quel est le prix moyen à Istanbul ? Nos conseils pour une thérapie par cellules souches réussie en Turquie.

MeilleureClinique.fr vous informe sur la thérapie par cellules souches en Turquie et vous aide à réserver une opération auprès de chirurgiens qualifiés. Ce contenu est offert à titre exclusivement informatif et n’a pas la prétention de remplacer les conseils d’un professionnel de la santé.

Quel est le prix d’une greffe de cellules souches en Turquie ?

Le coût moyen d’une thérapie par cellules souches en Turquie à Istanbul est de 5500 euros. Selon les besoins, le prix peut varier de 2000 euros jusqu’à 20000 euros.

InterventionPrix Turquie
Cellules souches pour l’arthrite5500 €
Cellules souches pour les genoux2000 €
Cellules souches de cordon ombilical5500 €
Cellules souches pour Parkinson6500 €
Cellules souche pour cancer5000 €
Cellules souches pour maladie des yeux5500 €
Cellules souches pour greffe de cheveux2400 €
Cellules souches pour maladie neurologique6800 €
Cellules souches pour maladie gastrique4900 €
Cellules souches pour maladie pneumologique8300 €
Cellules souches pour la reproduction3500 €
Cellules souches pour maladie autoimmune7200 €

Vous avez déjà entendu parler des cellules souches ? Ce sont des cellules très particulières qu’on peut trouver dans notre sang ou notre peau. Mais aussi dans la moelle osseuse ou encore le cordon ombilical. Elles sont également très présentes au stade embryonnaire. Et si ces cellules font l’objet de tant de recherches ces dernières années, c’est bien parce qu’elles ont un super pouvoir.

Elles ont la capacité de devenir ce qu’elles veulent. Elles se divisent, se multiplient. Mais elles sont aussi capables de se transformer en tout type de cellules selon les besoins de l’organisme. Se transformer en cellule du muscle, de la peau ou des neurones par exemple.

Avec ce pouvoir, elles peuvent contribuer à réparer et à remplacer les cellules endommagées ou vieillissantes de notre corps. Imaginez le potentiel médical !

La thérapie par cellules souches est en marche. Et ce n’est que le début. De nombreuses études sont en cours. Dans un avenir proche, les hôpitaux et les cliniques d’Istanbul soigneront peut-être les cancers ou la maladie d’Alzheimer. L’espoir réside en tout cas dans cette thérapies par cellules souches et la Turquie est à la pointe de l’innovation dans ce domaine.

Alors quelles sont les maladies qui bénéficient déjà de ces traitements cellulaires ? Et quelles sont les maladies qui pourront en profiter dans un avenir proche ?

A lire aussi notre dossier sur le check-up santé en Turquie.

Thérapies par cellules souches pour les maladies oculaires en Turquie

Vous l’avez compris, les cellules souches ont la capacité de réparer. La thérapie cellulaire est donc parfaite pour toutes les maladies dégénérescentes. C’est le cas notamment de certaines maladies oculaires comme :

  • la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) ;
  • la rétinopathie diabétique ;
  • le glaucome ;
  • et la cécité cornéenne.

Ces affections touchent de nombreuses personnes dans le monde. Et elles entraînent une perte progressive de la vision.

DMLA et rétinopathie diabétique : régénérer la rétine grâce aux cellules souches

La DMLA et la rétinopathie diabétique ont en commun d’endommager la rétine, cette membrane qui tapisse le fond de l’œil.

Dans le cas de la DMLA, ce sont les cellules de la macula, la zone centrale de la rétine, qui dégénèrent progressivement passé 50 ans. La rétinopathie diabétique, elle, touche les petits vaisseaux sanguins de la rétine, fragilisés par l’excès de sucre dans le sang.

Pour ces deux maladies, les chercheurs étudient la possibilité de greffer des cellules rétiniennes produites à partir de cellules souches, afin de remplacer les cellules déficientes.

Une autre piste prometteuse est l’injection de facteurs de croissance sécrétés par les cellules souches. Eh oui, en plus de tous leurs pouvoirs, ces “cellules mères” libèrent leur propre “engrais” : le facteur de croissance. Cet engrais va permettre de protéger et de stimuler les cellules rétiniennes rescapées. Pour qu’elles se soignent toutes seules finalement …

Des essais cliniques sont en cours dans les hôpitaux turcs pour évaluer la sécurité et l’efficacité de ces approches chez les patients atteints de DMLA ou de rétinopathie diabétique. Les premiers résultats sont encourageants. Mais il faudra encore confirmer les bénéfices à long terme de ces thérapies.

Glaucome : un traitement par cellules souches pour prévenir et guérir

Le glaucome se caractérise par une dégénérescence du nerf optique, souvent due à une pression trop élevée dans l’œil. Là encore, les cellules souches pourraient devenir l’allié des ophtalmologues pour stopper la progression de la maladie.

L’idée est de transplanter des cellules souches dans l’œil. L’objectif est double :

  • Faire baisser la pression oculaire en aidant à la régénération du trabéculum ;

Le trabéculum est une sorte de tissu spongieux qui régule la pression à l’intérieur de l’œil. Un tel traitement par cellules souches pourrait donc éviter la dégénérescence du nerf optique.

  • Protéger et stimuler la régénération du nerf optique lésé.

Certaines cellules souches ont des propriétés neuroprotectrices qui pourraient préserver les cellules du nerf optique. Ajoutez à ça une injection de facteur de croissance, et l’espoir est possible.

D’ailleurs les résultats chez l’animal sont très prometteurs. Mais des essais sur l’homme sont encore nécessaires pour valider ces approches. 

Cécité cornéenne : les premiers succès de la reconstruction par cellules souches

La cornée est cette fenêtre transparente à l’avant de l’œil, essentielle à une bonne vision. De nombreuses maladies peuvent l’opacifier et conduire à la cécité. Les greffes de cornée sont actuellement le seul recours.

Mais les chercheurs explorent une autre voie : la reconstruction d’une cornée limpide à partir de cellules souches.

Deux options sont à l’étude :

  • La première option consiste à prélever les cellules souches au bord de la cornée du patient, à les cultiver en laboratoire, puis à les réimplanter pour recréer une cornée fonctionnelle ;
  • La deuxième option est de reprogrammer des cellules de peau ou de moelle en “supercellules” capables de régénérer la cornée.

La très bonne nouvelle, c’est que cela semble fonctionner. Les premiers patients ont retrouvé la vue grâce à des greffes de cellules souches cornéennes dans le cadre d’essais cliniques. Mais il ne s’agit pas encore d’un traitement de routine.

En Turquie comme ailleurs, les spécialistes sont à la pointe pour offrir ces innovations à leurs patients internationaux. Restez informé de toutes les avancées dans ce domaine.

En choisissant la Turquie pour votre traitement oculaire par cellules souches, vous bénéficierez d’une prise en charge complète, de la chirurgie à l’hospitalisation, en passant par l’anesthésie et les soins postopératoires. Tout cela dans un cadre à la fois ultra spécialisé et chaleureux.

Thérapie par cellules souches en Turquie : un espoir pour les maladies neurologiques

Les maladies neurologiques touchent des millions de personnes dans le monde.
Alzheimer, Parkinson, AVC… ces maladies nous font peur. En plus de leurs terribles symptômes, elles ont un autre point commun. Elles sont toutes causées par la dégénérescence ou la destruction de cellules nerveuses dans le cerveau ou la moelle épinière.

Malheureusement, il n’existe actuellement aucun traitement pour régénérer les neurones perdus. Les approches disponibles cherchent surtout à soulager les symptômes et ralentir la progression.

C’est pourquoi la thérapie par cellules souches suscite un immense espoir.
Les cellules souches ont en effet la capacité de se multiplier à l’infini et de se spécialiser en n’importe quel type de cellules de l’organisme, y compris en neurones. L’idée est donc d’utiliser ces cellules pour remplacer les neurones détruits et réparer les circuits nerveux endommagés.

Maladie de Parkinson : les cellules souches au secours des neurones dopaminergiques

La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative chronique qui touche le cerveau. Certains neurones disparaissent peu à peu, en particulier ceux qui produisent la dopamine.

En plus d’être “l’hormone du bonheur”, la dopamine est très importante dans le contrôle des mouvements et la mémoire. Son déficit entraîne des symptômes moteurs handicapants comme des tremblements ou une rigidité. Mais aussi des troubles du sommeil, des douleurs, une dépression, voire la démence.

Les chercheurs essaient de transplanter des neurones dopaminergiques “tout neufs” obtenus à partir de cellules souches, ou bien d’injecter leurs fameux facteurs de croissance pour protéger les neurones restants.

Les premiers essais cliniques sont en cours. Gardez espoir !

Maladie d’Alzheimer : les cellules souches, un espoir pour la mémoire

La maladie d’Alzheimer est, comme la maladie de Parkinson, une maladie neurodégénérative. Elle provoque une détérioration progressive et irréversible du cerveau.

Cependant, la thérapie par cellules souches laisse envisager des solutions pour le futur. L’idée serait d‘utiliser des cellules souches, capables de se différencier en neurones, pour remplacer les cellules nerveuses détruites par la maladie. Et ainsi régénérer les circuits cérébraux endommagés.

De nombreux défis restent encore à relever, comme le choix de la source de cellules ou le mode d’administration. Néanmoins, la thérapie cellulaire représente un immense espoir pour les millions de patients atteints de la maladie d’Alzheimer dans le monde. Si les recherches en cours aboutissent, elle pourrait permettre de stopper, voire de faire régresser cette terrible maladie aujourd’hui incurable.

Sclérose latérale amyotrophique (SLA)

La sclérose latérale amyotrophique (SLA), aussi appelée maladie de Charcot, est une maladie neurodégénérative qui s’attaque spécifiquement aux neurones moteurs. Ces neurones sont responsables de nos mouvements volontaires mais aussi de la déglutition et de la respiration. Leur disparition progressive entraîne une paralysie musculaire qui peut devenir fatale.

Les chercheurs travaillent sur la greffe de nouveaux neurones moteurs obtenus à partir de ces cellules souches, ou sur l’injection de cellules souches capables de sécréter des molécules protectrices pour les neurones survivants. Des essais cliniques très prometteurs sont en cours, avec l’objectif de redonner vie aux circuits nerveux endommagés par la SLA.

Accident vasculaire cérébral (AVC) et lésions cérébrales

Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et les lésions cérébrales, qu’elles soient dues à des traumatismes, des tumeurs ou des maladies neurodégénératives, peuvent causer des dommages irréversibles au cerveau.

Les neurones détruits ne se renouvellent pas naturellement. Et cela provoque des déficits neurologiques handicapants.

Actuellement, les traitements visent surtout à rééduquer les patients, sans pouvoir réparer les zones cérébrales endommagées. Mais les chercheurs ont testé différentes approches lors d’essais précliniques chez l’animal :

  • Greffe de nouveaux neurones produits en laboratoire à partir de cellules souches ;
  • Injection de cellules souches pour stimuler la formation de neurones et de vaisseaux sanguins ;
  • Administration de facteurs de croissance sécrétés par ces cellules pour protéger les neurones survivants.

Les résultats sont très encourageants. Tellement que quelques essais de phase I/II ont été menés chez l’Homme, démontrant la faisabilité et la sécurité de la démarche.

Lésions médullaires et paralysie : renouer les fils de la moelle épinière avec la thérapie par cellules souches

Les lésions médullaires sont des dommages à la moelle épinière. Elles peuvent être causées par un traumatisme direct (accident, chute…) ou par des maladies comme des tumeurs ou des infections. Le faisceau de nerfs qui transmet les signaux entre le cerveau et le reste du corps est rompu, entrainant une paralysie totale ou partielle selon le niveau atteint.

Avec la thérapie par cellules souches, l’espoir est permis.

Des essais sur modèles animaux ont montré une repousse axonale. Il faut savoir que l’axone est le prolongement du neurone. Le “câble” qui transmet les informations. Les essais cliniques précoces combinent cellules souches et stimulation épidurale. Et les patients déjà traités ont vu une amélioration de leur fonction motrice.

La médecine régénérative par cellules souches révolutionnera donc très bientôt la prise en charge des lésions médullaires, offrant aux patients paralysés l’espoir de remarcher un jour.

Maladie de Huntington : une thérapie cellulaire face à la génétique

La maladie de Huntington est une affection génétique rare qui provoque une dégénérescence progressive de certaines zones du cerveau contrôlant les mouvements.

Les symptômes sont particulièrement invalidants : des mouvements involontaires et des troubles cognitifs et psychiatriques.

Les chercheurs étudient la greffe de nouveaux neurones pour remplacer ceux qui ont été détruits, ainsi que l’injection de cellules souches secrétant des facteurs protecteurs pour les neurones. Des cellules souches génétiquement modifiées pourraient même délivrer des protéines thérapeutiques.

Épilepsie : des thérapies pour les formes résistantes ?

L’épilepsie est caractérisée par des crises récurrentes dues à une activité électrique anormale dans le cerveau. Malheureusement, cette maladie reste difficile à traiter chez 30% des patients. La thérapie par cellules souches offre un nouvel espoir pour ces formes résistantes aux médicaments.

Les chercheurs étudient la greffe de neurones inhibiteurs produits à partir de cellules souches pour remplacer ceux qui ont été détruits. Ils espèrent ainsi rétablir l’équilibre de l’activité cérébrale. Une autre piste est l’utilisation de cellules souches génétiquement modifiées pour délivrer des molécules anti-épileptiques directement dans le cerveau.

La reprogrammation de cellules cérébrales en neurones fonctionnels est également explorée.

Ces approches ont déjà montré des résultats prometteurs chez l’animal, laissant espérer de nouvelles options thérapeutiques pour les patients souffrant d’épilepsie réfractaire. De nombreux défis restent à relever avant que ces thérapies révolutionnaires arrivent au chevet des patients.

Mais la Turquie a fait le pari d’investir massivement dans la recherche et le développement des thérapies par cellules souches. Le long du Bosphore ont éclos des cliniques et des hôpitaux ultramodernes, dotés de plateaux techniques de pointe et de spécialistes réputés.

De nombreux essais cliniques y sont en cours pour évaluer leur efficacité dans diverses maladies neurologiques. Les résultats préliminaires sont prometteurs. Les avancées décisives sont pour demain ! Restez informé…

Lutte contre les cancers : des thérapies cellulaires prometteuses en Turquie

Les cancers, tous les cancers, sont de véritables fléaux. Et malgré les traitements lourds que les médecins leur font subir, ils arrivent à résister et parfois même à revenir.

Les chercheurs ont réussi à isoler une petite sous-population de cellules qui jouent un rôle clé dans l’apparition des cancers. Mais aussi dans sa progression et sa résistance aux traitements.

Ces cellules sont en effet capables de s’auto-renouveler. Et de se différencier en différents types de cellules. Ça ne vous rappelle rien ?

Ces cellules sont d’ailleurs appelées Cellules Souches Cancéreuses (CSC). C’est ce qui les rend si dangereuses, car elles peuvent régénérer continuellement la tumeur.
Face à cet envahisseur et à ses capacités, les scientifiques testent aujourd’hui plusieurs approches de thérapie par cellules souches pour cibler directement ces CSC.

Voici une explication simplifiée de ces différentes stratégies thérapeutiques.

1 – Greffe de cellules souches génétiquement modifiées

Les chercheurs modifient génétiquement des cellules souches normales pour qu’elles produisent des substances toxiques pour les cellules cancéreuses (gènes suicides). Ils les injectent ensuite dans la tumeur où elles vont attaquer spécifiquement les cellules cancéreuses de l’intérieur.

2 – Immunothérapie par cellules CAR-T

Le médecin prélève des globules blancs du patient. Il les modifie génétiquement pour qu’ils expriment un récepteur artificiel (CAR) reconnaissant spécifiquement des marqueurs présents à la surface des CSC. Réinjectées au patient, ces cellules CAR-T vont cibler et détruire les CSC comme des missiles guidés.

3 – Cellules souches comme vecteurs de médicaments

Dans ce cas, on utilise la capacité des cellules souches à migrer vers les tumeurs. On les charge avec des médicaments anti-cancéreux comme un cheval de Troie, pour qu’elles les délivrent directement au cœur de la tumeur, là où se nichent les CSC.

4 – Induction de la différenciation des CSC

On utilise des agents comme l’acide rétinoïque qui forcent les CSC à se différencier en cellules matures. Cela leur fait perdre leurs pouvoirs. Elles deviennent alors plus vulnérables aux traitements classiques.

5 – Ciblage des voies de signalisation des CSC

On bloque spécifiquement les voies de communication cellulaire qui permettent aux CSC de maintenir leur état indifférencié et de s’auto-renouveler. En coupant ces signaux, on épuise progressivement le réservoir de CSC.

Passionnant, vous ne trouvez pas ?! Et surtout tellement encourageant pour la médecine de demain. Mais concrètement, où en sont les médecins dans ces traitements ?

Pour la plupart des tumeurs “solides”, la thérapie par cellules souches n’en est qu’au stade expérimental. Plusieurs pistes sont étudiées parmi celles que nous venons de voir pour les tumeurs telles que :

  • Cancer du sein
  • Cancer colorectal
  • Cancer du poumon
  • Cancer de la prostate
  • Cancer de la peau

Par contre, la greffe de cellules souches hématopoïétiques, est une option thérapeutique bien implantée en Turquie pour les patients atteints de leucémie, de lymphome et d’autres cancers du sang.

La greffe de cellules souches pour traiter la leucémie

La leucémie est un cancer du sang pour lequel la greffe de cellules souches hématopoïétiques est déjà un traitement standard après chimiothérapie, en Turquie et ailleurs. Ce terme “hématopoïétique” évoque le processus de renouvellement des cellules sanguines.

La thérapie consiste à administrer de fortes doses de chimiothérapie pour détruire les cellules leucémiques (qui sont donc des cellules sanguines). La radiothérapie vise aussi certaines cellules de la moelle osseuse. Puis, on réinjecte des cellules souches saines, prélevées au préalable chez le patient (autogreffe) ou provenant d’un donneur compatible (allogreffe).

Les nouvelles cellules souches permettent de restaurer les cellules sanguines et une moelle fonctionnelle. Et, dans le cas de l’allogreffe, elles apportent, en plus, un nouveau système immunitaire aidant à éliminer les cellules cancéreuses résiduelles.

Les résultats sont très encourageants. Cette thérapie par cellules souches permet d’obtenir des rémissions prolongées et des milliers de patients ont ainsi été traités avec succès.

Mais la greffe reste un traitement lourd et risqué. De nouvelles approches comme l’optimisation des donneurs, les greffes haplo-identiques ou de sang de cordon, ou l’utilisation de cellules génétiquement modifiées, visent à en améliorer les résultats.

Il n’empêche que malgré ses limites, la greffe de cellules souches a révolutionné le pronostic des leucémies. Et elle reste le traitement de référence pour les formes à haut risque.

La recherche se poursuit pour en améliorer l’efficacité et la tolérance.

Lymphomes et thérapie par cellules souches : des traitements efficaces en Turquie

Les lymphomes sont des cancers du système lymphatique. Ces cancers compromettent la capacité de l’organisme à lutter contre les infections.

Comme pour la leucémie, la greffe de cellules souches est utilisée pour certains lymphomes, notamment en cas de rechute ou d’échec des autres traitements.

Après une chimiothérapie intensive pour détruire les cellules cancéreuses, les cellules souches de la moelle osseuse, préalablement prélevées et congelées, sont réinjectées pour reconstituer la moelle osseuse. Cette thérapie nécessite une hospitalisation prolongée et un suivi à long terme.

De grands hôpitaux universitaires ainsi que des cliniques privées proposent ce type de traitement par cellules souches en Turquie. Ce pays est véritablement une destination de choix pour les patients internationaux recherchant une greffe de moelle osseuse.

Les cellules souches, une révolution dans le domaine esthétique

Dans le domaine de la médecine esthétique, les thérapies par cellules souches représentent une véritable révolution. Grâce à leurs propriétés régénératrices, elles ouvrent des portes vers le rajeunissement cutané, la correction des cicatrices et le traitement des taches de vieillesse.

Rajeunissement cutané, amélioration de la texture de la peau et traitement des rides

Les cellules souches permettent de réparer et de rajeunir la peau au niveau cellulaire. Elles favorisent la croissance de nouvelles cellules cutanées, augmentent la production de collagène et améliorent l’élasticité de la peau. Rien que ça !

Cela se traduit par une peau d’apparence plus jeune et plus ferme, avec une réduction des rides et des ridules.

Correction des cicatrices grâce au traitement par cellules souches

Mais avec ces capacités, les cellules souches permettent également de traiter efficacement les cicatrices, notamment les cicatrices hypertrophiques et chéloïdiennes. Ces cicatrices inflammatoires sont liées à une surproduction de collagène lors de la cicatrisation.

Elles se présentent comme des excroissances en relief, souvent rouges, épaisses. Et elles peuvent provoquer des démangeaisons.
En Turquie, où cette opération est courante, les thérapies par cellules souches ont démontré leur efficacité pour atténuer ces cicatrices disgracieuses.

Traitement des taches de vieillesse par thérapie cellulaire

Les taches de vieillesse peuvent également être traitées grâce aux cellules souches. En stimulant le renouvellement cellulaire, ces thérapies atténuent efficacement les tâches pigmentaires liées à l’âge. La peau est plus uniforme et éclatante.

Plusieurs cliniques et hôpitaux turcs proposent déjà ces traitements révolutionnaires, avec des techniques de pointe comme les injections de graisse enrichie en cellules souches.

Les résultats sont au rendez-vous : une peau rajeunie, raffermie, lumineuse, avec une réduction visible des rides, des rougeurs et de l’inflammation. Et les effets sont durables. Une véritable fontaine de jouvence cellulaire !

Augmentation mammaire par cellules souches

L’augmentation mammaire par cellules souches permet une augmentation des seins naturelle en utilisant les cellules souches issues de votre propre graisse. Le médecin prélève de la graisse sur une zone de votre choix, en extrait les cellules souches, puis les injecte dans vos seins. Cette méthode évite les implants artificiels, réduit les risques de complications et permet de corriger les asymétries. La guérison est plus rapide qu’avec une opération classique.

Augmentation des fesses par cellules souches

L’augmentation des fesses par cellules souches permet de remodeler les fesses grâce aux cellules souches de votre propre graisse, sans prothèses artificielles. Le médecin prélève simplement un peu de graisse sur vos zones critiques, en extrait les cellules souches, puis les réinjecte dans vos fesses. La peau devient aussi plus belle et plus ferme. Le résultat est naturel tant visuellement qu’au toucher, et durent plus longtemps.

Augmentation du pénis par cellules souches

Cette technique douce utilise vos cellules graisseuses pour augmenter la taille du pénis. Le médecin prélève un peu de graisse sur votre corps et en retire les cellules souches. Il les injecte ensuite avec précision pour améliorer la longueur et l’épaisseur. Les changements se font en douceur. C’est moins risqué que la chirurgie classique.

Lifting visage par cellules souches

Le lifting visage par cellules souches permet un rajeunissement du visage naturel grâce aux cellules souches prélevées dans votre graisse, sans chirurgie traditionnelle. Le traitement a une double action : il comble les volumes et régénère la peau. L’injection de millions de nouvelles cellules réduit les rides, améliore la qualité de la peau et la circulation sanguine, pour des résultats durables.

Greffe de cheveux et cellules souches

Dans le domaine capillaire, les traitements par cellules souches sont plus que prometteurs pour lutter contre l’alopécie et la calvitie, aussi bien chez les hommes que chez les femmes.

Bien plus qu’une simple greffe de cheveux, ces thérapies exploitent les propriétés régénératrices des cellules souches pour stimuler les follicules pileux et relancer la croissance capillaire.

Voir notre article sur la greffe de cheveux par cellules souches

La calvitie masculine, un fléau touchant 70% des hommes


La calvitie masculine, touche environ 70% des hommes. Débutant généralement entre 30 et 40 ans, parfois dès l’adolescence, cette perte graduelle de cheveux est influencée par les hormones mâles et des facteurs génétiques.

Elle se manifeste par un éclaircissement des tempes et/ou du sommet du crâne

La calvitie féminine, un dérèglement hormonal souvent en cause


Les femmes ne sont pas épargnées par la calvitie. Elle touche 2 à 3% d’entre elles et peut débuter entre 12 et 40 ans. Contrairement à la plupart des hommes, la perte de cheveux est plus diffuse sur l’ensemble du cuir chevelu. Là aussi , des facteurs hormonaux et génétiques sont généralement en cause.

L’alopécie, une perte de cheveux brutale et réversible


L’alopécie se caractérise par une perte de cheveux soudaine et diffuse sur tout le cuir chevelu. Stress, fatigue, carences en fer, prise de certains médicaments, chimiothérapie ou radiothérapie peuvent en être la cause.

Heureusement, cette chute de cheveux est souvent réversible une fois le facteur déclenchant traité, à la différence des alopécies cicatricielles qui détruisent définitivement les follicules pileux.

Les cliniques turques, pionnières des thérapies capillaires par cellules souches

On entend beaucoup parler de la Turquie pour ces implants capillaires. Mais le traitement de la calvitie est bien autre chose que de simples implants.

La Turquie est LA destination parfaite pour bénéficier des thérapies capillaires par cellules souches. L’expertise des équipes médicales et ses infrastructures de pointe ne sont plus à démontrer dans ce domaine.

Plusieurs techniques sont proposées :

  • La mésogreffe capillaire (méthode Rigenera)

Elle consiste à réinjecter dans le cuir chevelu des cellules souches extraites de follicules pileux du patient, pour réactiver les follicules dormants et favoriser la repousse.

  • L’injection de concentré de cellules souches adipocytaires

Ces cellules, prélevées par liposuccion, libèrent des facteurs de croissance stimulant les follicules pileux.

  • La greffe de cellules souches folliculaires cultivées in vitro

Encore en développement, cette technique ouvre de nouvelles perspectives.

Une chevelure plus dense et de meilleure qualité grâce aux cellules souches

Quelle que soit la méthode, on a pu constater un arrêt de la chute des cheveux et une repousse progressive dans les 2 à 6 mois suivant le traitement, chez la plupart des patients traités.

La densité et l’épaisseur des cheveux existants sont améliorées, pour une chevelure globalement plus fournie et de meilleure qualité.

Et le traitement est très bien toléré.
Mesdames, messieurs, vous allez pouvoir dire adieu à la calvitie.

Cardiologie et cellules souches : Des thérapies pour le cœur

En cardiologie, les thérapies à base de cellules souches offrent de nouvelles perspectives pour régénérer le muscle cardiaque lésé et améliorer la fonction du cœur. Des essais cliniques prometteurs sont en cours pour différentes pathologies.

Insuffisance cardiaque : la thérapie cellulaire pour revitaliser le cœur défaillant

L’insuffisance cardiaque est l’incapacité du cœur à pomper suffisamment de sang pour oxygéner correctement l’organisme. Elle se manifeste par de la fatigue, un essoufflement et parfois des œdèmes.

Elle peut être aiguë (brutale) ou chronique (progressive). Des essais de thérapie cellulaire sont en cours, utilisant des cellules souches de la moelle osseuse, du tissu adipeux ou des cellules souches cardiaques, pour régénérer le muscle cardiaque défaillant.

Infarctus du myocarde : réparer le cœur grâce aux cellules souches

L’infarctus du myocarde est le mot scientifique pour désigner la crise cardiaque.
Cette terrible attaque est due à la destruction d’une partie du muscle cardiaque par manque d’oxygénation, souvent à cause de l’obstruction d’une artère coronaire.

Des essais cliniques testent la greffe de cellules souches (de moelle osseuse, cardiaques ou embryonnaires) dans la zone lésée pour régénérer le tissu du muscle cardiaque et améliorer sa fonction.

Angine de poitrine : stimuler la formation de nouveaux vaisseaux

L’angine de poitrine est une douleur thoracique due à un manque d’oxygénation du cœur. Généralement liée à un rétrécissement des artères coronaires, elle peut être un des signaux d’alarme avant une crise cardiaque.

La thérapie cellulaire s’attaque ici à l’origine du mal. Elle vise à stimuler la formation de nouveaux vaisseaux (angiogenèse) pour mieux irriguer le muscle cardiaque.

Cardiomyopathie : la piste prometteuse des cellules souches

Les cardiomyopathies sont des maladies du muscle cardiaque. Celui-ci peut devenir trop dilaté, épaissi ou rigide, ce qui altère le pompage du sang.

Plusieurs études précliniques et cliniques ont évalué l’intérêt des CSM (Cellules Souches Mésenchymateuses) dans cette pathologie. Les CSM sont des cellules souches adultes présentes dans divers tissus (moelle osseuse, tissu adipeux…).

Elles ont gardé en elles le souvenir de leur origine embryonnaire et la capacité magique de pouvoir se transformer en cellules osseuses, cartilagineuses, musculaires ou graisseuses selon les besoins du corps.

Dans le cas des cardiomyopathies, elles permettraient de régénérer le muscle cardiaque lésé et d’améliorer les symptômes et la fonction ventriculaire.

Hypertension pulmonaire : un essai de thérapie cellulaire prometteur

L’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) est une maladie rare et grave caractérisée par une élévation anormale de la pression dans les artères pulmonaires. Elle impose un effort important au cœur, en particulier au ventricule droit qui pompe le sang vers les poumons. À terme, cela peut entraîner une insuffisance cardiaque.

Un essai précoce utilisant des cellules souches a montré des résultats encourageants chez des patients atteints d’HTAP,  avec une légère amélioration de la fonction cardiaque et pulmonaire. Mais l’étude a surtout permis de prouver que le traitement était bien toléré, sans effet indésirable à court ou long terme, ni réaction immunologique.

La thérapie cellulaire est donc la source de grands espoirs pour régénérer les tissus cardiaque. De nombreux essais cliniques sont en cours pour évaluer différents types de cellules souches. Si les résultats se confirment, ces approches pourraient révolutionner la prise en charge de ces maladies graves, en complément des traitements actuels.

Des thérapies par cellules souches pour les maladies gastro-intestinales

Les maladies chroniques du système digestif, comme les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), les pancréatites et les maladies du foie, sont souvent difficiles à traiter.

Mais les thérapies par cellules souches, en particulier les cellules souches mésenchymateuses (CSM), offrent un espoir de régénération tissulaire et de modulation de l’inflammation.

Des cellules souches pour traiter les MICI : la Turquie en pointe

La maladie de Crohn et la colite ulcéreuse sont toutes les deux des Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin. La maladie de Crohn peut toucher tout le tube digestif de la bouche à l’anus, alors que la colite ulcéreuse se limite au côlon et au rectum.

Mais dans les deux cas, les symptômes incluent douleurs abdominales, diarrhées chroniques parfois sanglantes, perte d’appétit et de poids.

Les cellules souches mésenchymateuses (CSM) aident à réduire l’inflammation et à réparer les parois de l’intestin. Par ailleurs, l’application locale de CSM est efficace pour les fistules périanales dans la maladie de Crohn.

Des essais cliniques pour ces thérapies par cellules souches sont en cours, notamment en Turquie, pays en pointe dans ce domaine.

Pancréatite : les CSM pour régénérer le pancréas

La pancréatite est une inflammation du pancréas. Elle est souvent due à des calculs biliaires ou à l’alcoolisme chronique. Elle se manifeste par des douleurs abdominales intenses, des nausées et des vomissements.

Des thérapies par CSM sont envisagées pour régénérer le tissu pancréatique lésé et moduler l’inflammation. Des essais cliniques sont en cours.

Cirrhose et stéatose hépatique : les CSM pour réparer le foie

  • La stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) est une accumulation de graisse dans le foie. Elle n’a rien à voir avec la consommation excessive d’alcool. Mais elle est plutôt liée à l’obésité ou au diabète notamment. Elle peut évoluer vers une stéatohépatite (NASH) avec inflammation et fibrose, puis vers une cirrhose ;
  • La fibrose hépatique est une accumulation anormale de tissu, qui remplace progressivement les cellules du foie. Celui-ci devient alors de plus en plus dysfonctionnel ;
  • La cirrhose, elle, est une maladie chronique grave du foie. Elle est la phase évolutive de la fibrose.

Les propriétés anti-fibrotiques, anti-inflammatoires et régénératives des CSM sont donc particulièrement étudiées dans ces pathologies. Des essais de phase I et II ont montré lasécurité des perfusions de CSM chez différents patients. Et une amélioration de la fonction hépatique.

Que ce soit pour moduler l’inflammation, régénérer les tissus ou restaurer les fonctions des organes, les thérapies par cellules souches donnent foi en l’avenir pour les patients atteints de ces maladies. Et la Turquie compte bien jouer un rôle majeur dans ces avancées thérapeutiques.

Les cellules souches, un nouveau souffle dans le domaine de la pneumologie

Dans le domaine de la pneumologie aussi, la thérapie cellulaire est très attendue. Mais quelles sont les maladies pulmonaires chroniques qui pourraient en bénéficier ?

Fibrose kystique

La fibrose kystique est une maladie génétique qui touche surtout les poumons et le système digestif. Elle se caractérise par des sécrétions épaisses et visqueuses qui obstruent les voies respiratoires et digestives. Cela entraîne des infections pulmonaires à répétition, des troubles digestifs et, chez l’enfant, un retard de croissance.

Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC)

La MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique) est un terme générique qui englobe la BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive) et l’emphysème. Les voies aériennes s’obstruent progressivement. La respiration devient difficile. Et parmi les symptômes, on note aussi la toux chronique, la production de mucus et l’essoufflement.

Fibrose pulmonaire idiopathique

La fibrose pulmonaire idiopathique est une maladie rare où les poumons développent une cicatrisation progressive pour des raisons inconnues. Comme pour la fibrose hépatique, les poumons ont de plus en plus de mal à fonctionner normalement. Et les patients sont toujours essoufflés.

Ces maladies ont de nombreux points communs. Et les traitements actuels visent surtout à en soulager les symptômes. C’est pourquoi la thérapie par cellules souches suscite de grands espoirs pour régénérer les tissus pulmonaires lésés.

Des thérapies par cellules souches pour ces pathologies pulmonaires

Plusieurs approches sont actuellement étudiées :

  • L’injection de cellules souches mésenchymateuses qui ont des propriétés anti-inflammatoires et régénératives. Elles pourraient aider à réparer les lésions pulmonaires dans la BPCO, l’emphysème et la fibrose pulmonaire. Des essais cliniques précoces ont montré des résultats encourageants.
  • L’administration de cellules souches par voie endobronchique pour traiter l’emphysème sévère. Une étude a rapporté une amélioration de la fonction respiratoire et de la qualité de vie à 12 mois.
  • L’utilisation de cellules souches génétiquement modifiées pour délivrer des gènes thérapeutiques dans les poumons des patients atteints de fibrose kystique. C’est encore au stade expérimental.

La Turquie est très impliquée dans la recherche sur les thérapies par cellules souches pour les maladies pulmonaires chroniques. Ses centres spécialisés, à Istanbul notamment, participent activement aux essais cliniques internationaux. Les équipes turques travaillent particulièrement sur l’optimisation des protocoles d’administration des CSM par voie inhalée ou endobronchique, une approche prometteuse pour cibler les poumons.

Thérapie par cellules souches en Turquie : vaincre les troubles de la reproduction

Les troubles de la reproduction, qu’ils soient masculins ou féminins, ont un impact majeur sur la qualité de vie et le bien-être des couples. Mais dans ce domaine aussi, les thérapies par cellules souches offrent de nouvelles perspectives.

Ménopause précoce : les cellules souches pour relancer l’horloge ovarienne

La ménopause précoce correspond à l’arrêt des règles avant 40 ans. Elle est due à un épuisement prématuré de la réserve ovarienne en ovocytes. Les symptômes sont les mêmes que ceux de la ménopause (bouffées de chaleur, sécheresse vaginale…) avec en plus un risque d’infertilité.

Mais l’injection de cellules souches dans les ovaires pourrait régénérer cette réserve ovarienne. Des essais encourageants rapportent une reprise des règles et même des grossesses spontanées chez certaines patientes. De quoi redonner espoir aux femmes touchées par cette pathologie.

Dysfonction érectile : les cellules souches pour redresser la situation

La dysfonction érectile est l’incapacité à obtenir ou maintenir une érection suffisante pour un rapport sexuel satisfaisant. Elle peut avoir des causes psychologiques, vasculaires, neurologiques ou hormonales.

Des essais précoces ont montré que l’injection de cellules souches dans le pénis pouvait améliorer la fonction érectile. Une approche innovante pour traiter ce trouble qui affecte de nombreux hommes.

Endométriose : les cellules souches pour élucider le mystère

La muqueuse utérine est la paroi qui tapisse l’intérieur de l’utérus.
Les femmes atteintes d’endométriose ont cette muqueuse qui se développe anormalement en dehors de l’utérus, sur les ovaires, les trompes ou le péritoine.

Elle provoque des douleurs pelviennes, des règles abondantes et douloureuses et parfois l’infertilité. Les causes de cette maladie sont encore inconnues. Mais l’hypothèse de cellules souches endométriales disséminées dans l’organisme semble très cohérente.

Dans ce cas, la thérapie cellulaire pourrait permettre de cibler spécifiquement ces cellules anormales. Une piste fascinante pour percer les mystères de cette maladie.

Troubles menstruels : les cellules souches au secours des règles

Les troubles menstruels regroupent des règles irrégulières, des règles douloureuses, trop abondantes ou encore absentes. Ces troubles peuvent être dus à des déséquilibres hormonaux, des anomalies de l’utérus, l’endométriose…

Les thérapies par cellules souches pourraient offrir de nouvelles options pour réguler les cycles et soulager les symptômes. Des recherches sont en cours pour développer ces techniques.

Plusieurs cliniques réputées en Turquie, comme le centre de PMA Fertility Crete ou NBScience proposent déjà des traitements par cellules souches pour l’infertilité et la dysfonction érectile. Elles redonnent espoir aux millions de personnes concernées parces troubles.

Domaine immunitaire : une solution pour les maladies auto-immunes et les greffes ?

Le système immunitaire est notre bouclier pour nous protéger des agressions extérieures. Malheureusement, dans certains cas, il se met à attaquer par erreur des tissus sains de notre organisme. Ce sont les maladies auto-immunes. Quelles sont-elles ?

La sclérose en plaques

Dans la sclérose en plaques, les cellules immunitaires détruisent la gaine de myéline qui entoure les fibres nerveuses du cerveau et de la moelle épinière, entraînant des troubles moteurs, sensitifs et cognitifs.

Le lupus

Le lupus érythémateux systémique (LES) est une maladie auto-immune qui attaque la peau, les articulations et parfois même les reins, le cœur ou les poumons.
Les symptômes du LES sont très variables d’une personne à l’autre, les plus fréquents étant une fatigue intense, des douleurs articulaires, des éruptions cutanées et des maux de tête.

La polyarthrite rhumatoïde

Dans la polyarthrite rhumatoïde, le système immunitaire détruit progressivement le  cartilage. Cela provoque une inflammation chronique des articulations avec de fortes douleurs et des déformations, principalement dans les mains, les poignets et les pieds.

Les allergies

Eh oui, les allergies sont aussi des réactions immunitaires inadaptées. Mais ce ne sont pas des maladies auto-immunes à proprement parlé. Cette fois, les attaques sont dirigées contre des substances extérieures normalement inoffensives (allergènes) comme les pollens, les acariens, certains aliments… Elles se manifestent par des symptômes respiratoires, cutanés ou digestifs.

Contre ces dérèglements immunitaires, les cellules souches sont des solutions intéressantes.

La thérapie par cellules souches pour réinitialiser le système immunitaire

Nous avons déjà abordé le sujet des greffes de cellules souches hématopoïétiques pour le traitement des leucémies. Dans le cas des maladies auto-immunes, les médecins les utilisent dans certaines formes sévères de sclérose en plaques, de lupus ou de polyarthrite, pour “réinitialiser” le système immunitaire après une chimiothérapie.

Cette approche radicale permet d’éliminer les cellules immunitaires auto-réactives et de générer un nouveau système immunitaire tolérant.
Les résultats sont impressionnants, avec des rémissions prolongées voire des guérisons.

Différentes cellules souches pour traiter les maladies auto-immunes

Les cellules souches mésenchymateuses (CSM) ont un grand intérêt pour traiter ces maladies. Elles peuvent en effet réguler les réponses immunitaires excessives et favoriser la régénération des tissus lésés. Des essais cliniques sont en cours pour évaluer leur efficacité dans la sclérose en plaques, le lupus et la polyarthrite rhumatoïde, avec des premiers résultats encourageants. Les CSM pourraient aussi avoir un intérêt dans les allergies sévères.

Greffes d’organes et de tissus : des cellules souches pour changer la donne

Dans le domaine des greffes, les cellules souches offrent de nouvelles perspectives prometteuses pour :

  • Augmenter le nombre d’organes disponibles pour la transplantation :

1) En permettant de “faire pousser” de nouveaux organes fonctionnels en laboratoire à partir de cellules souches du patient (bio-ingénierie tissulaire). Cela pourrait pallier la pénurie actuelle d’organes de donneurs.
2) En réparant des organes endommagés considérés jusqu’ici comme non transplantables, grâce à la thérapie cellulaire régénérative.

  • Améliorer la survie et la fonction du greffon après transplantation :

1) En soignant les lésions causées lors du prélèvement et de la conservation de l’organe, grâce aux propriétés régénératives des cellules souches.
2) En favorisant une meilleure intégration du greffon et sa revascularisation, via la sécrétion de facteurs de croissance par les cellules souches.

  • Réduire le rejet de greffe et le besoin en immunosuppresseurs

Le rejet de greffe fonctionne avec le même principe que les maladies auto-immunes que nous venons de voir. Le système immunitaire ne reconnait pas ce corps étranger et l’attaque.
Plusieurs essais cliniques ont déjà montré des résultats encourageants, notamment avec l’injection de CSM pour prévenir le rejet de greffons rénaux, hépatiques ou cardiaques.

  • Traiter les complications post-greffe comme la fibrose ou les sténoses

Les thérapies cellulaires sont donc en passe de révolutionner le domaine des greffes, en relevant les défis de la pénurie d’organes, du rejet et des complications post-greffe.

Quel avenir grâce à la thérapie par cellules souches en Turquie ?

Une nouvelle ère de la médecine est en marche. Fascinante ! Nous vivons un moment charnière… La recherche fondamentale sur les cellules souches commence à se traduire en applications cliniques concrètes.

Les essais se multiplient. Les résultats s’accumulent. Et les preuves d’efficacité s’affirment. Nous sommes en train de passer d’une médecine de traitement à une médecine de régénération, capable de guérir là où l’on ne pouvait que soulager.

Et dans cette course vers le futur, la Turquie a une longueur d’avance. Avec ses infrastructures médicales de pointe, ses équipes de chercheurs et de cliniciens hautement qualifiés, elle est déjà une destination de premier plan pour les traitements cellulaires innovants.

Les patients du monde entier viennent suivre des thérapies par cellules souches en Turquie dans des domaines aussi variés que la neurologie, la cardiologie ou la médecine esthétique.

La qualité des soins, l’expertise des équipes et les tarifs compétitifs attirent des hommes et des femmes en quête des thérapies les plus avancées.

Alors que de nombreux pays, notamment en Europe, peinent encore à intégrer les thérapies cellulaires dans leur pratique clinique, freinés par des réglementations contraignantes, la Turquie fait figure de précurseur et de modèle.

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A propos de l'auteur

Manuella Fiorentini

Je m'appelle Manuella Fiorentini. Je suis une professionnelle du marketing expérimenté au sein de l'industrie des dispositifs médicaux et de l'industrie pharmaceutique. Avec plus de 7 ans d'expérience, J'ai travaillé dans des rôles créatifs et stratégiques pour développer des campagnes marketing, des lancements de produits et des conférences internationales.


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