- Quel est le prix d’une greffe intestinale en Turquie ?
- Qu’est-ce qu’une greffe intestinale en Turquie ?
- A qui s’adresse une greffe intestinale en Turquie ?
- Quand peut-on faire une greffe intestinale en Turquie ?
- Quels sont les risques, complications et effets secondaires ?
- Comment se déroule l’opération ?
- Quels résultats pour une greffe intestinale en Turquie ?
- Combien de temps rester en Turquie pour cette opération ?
- Pourquoi faire une greffe intestinale en Turquie ?
- Questions Fréquentes
Quel est le prix d’une greffe intestinale en Turquie ?
Le coût de la greffe intestinale varie entre 50.000 € et 100.000 euros. Ce montant comprend les honoraires des chirurgiens et de l’équipe médicale, les soins post-opératoires, incluant le suivi médical, les médicaments immunosuppresseurs, et les soins intensifs, le séjour à l’hôpital avant et après la transplantation et les examens préopératoires.
Greffe intestinale en Turquie | À partir de 50.000 € |
La transplantation intestinale fait partie des opérations chirurgicales les plus en plus demandées dans la ville d’Istanbul et Ankara, Turquie. Les hôpitaux et les cliniques y utilisent des technologies très avancées. Les chirurgiens ? Parmi les meilleurs au monde pour ce qui est de la transplantation d’organes. En choisissant cette destination pour votre traitement, vous profiterez d’un service de qualité supérieure.
Qu’est-ce qu’une greffe intestinale en Turquie ?
La greffe intestinale est une intervention médicale relativement rare à l’échelle mondiale. En France, 190 greffes seulement ont été recensées depuis 1993. Mais en quoi consiste-t-elle au juste ? Ce type de chirurgie vise à remplacer un intestin malade ou qui n’est plus fonctionnel par un intestin sain. Celui-ci provient rarement d’un donneur vivant.
Il peut concerner la greffe de l’intestin grêle, du côlon, ou des deux. La chirurgie est réalisée dans des établissements médicaux dotés d’équipements ultra spécialisés. Comme toute greffe, elle nécessite l’expertise de chirurgiens spécialistes en transplantation. Les plus compétents ? Vous les trouverez sans nul doute en Turquie.
Après la transplantation, le patient peut espérer retrouver une fonction intestinale normale. Cette intervention lui procure une absorption optimale des nutriments alimentaires et ainsi améliore sa qualité de vie.
A qui s’adresse une greffe intestinale en Turquie ?
Pour être considéré comme un candidat idéal pour cette intervention, voici les critères :
- Adultes avec moins de 100 cm d’intestin grêle restant
- Enfants avec moins de 40 cm d’intestin grêle restant.
- Être en bon état de santé général
- Avoir une bonne condition physique, peu importe l’âge, afin de pouvoir supporter une chirurgie majeure et le traitement immunosuppresseur qui suivra l’opération.
- Ne souffrir d’aucune maladie grave non contrôlée : infection active ou un cancer non traité.
Lire notre dossier sur la greffe de rein, greffe de moelle osseuse, greffe de foie et greffe de pancréas en Turquie.
Quand peut-on faire une greffe intestinale en Turquie ?
Il s’agit d’une option ultime pour les patients internationaux qui sont confrontés à des symptômes de troubles gastro-intestinaux classés cliniquement incurables. Les médecins chirurgiens le prescrivent de manière générale aux patients présentant des :
- Maladies congénitales (le syndrome de l’intestin court…)
- Maladies inflammatoires comme la maladie de Crohn,
- Cas de nécrose intestinale résultant d’une interruption de l’apport sanguin.
- Complications chirurgicales graves
- Abcès chroniques, des tumeurs ou d’autres problèmes qui bloquent l’intestin.
Les candidats à la transplantation intestinale en Turquie sont rigoureusement évalués par une équipe médicale spécialisée afin de déterminer leur éligibilité.
Quels sont les risques, complications et effets secondaires ?
La greffe intestinale, bien que potentiellement salvatrice, comporte plusieurs risques, complications et effets secondaires.
Risques et complications
- Le système immunitaire refuse de reconnaître l’intestin greffé (rejet)
- Le nouvel intestin peut produire des cellules qui attaquent les tissus du receveur.
- Parfois, le greffon intestinal peut développer des problèmes de vascularisation nécessitant une intervention chirurgicale.
- Un type de cancer du sang (lymphome) peut se développer à long terme chez certains patients transplantés.
Effets Secondaires
- Les problèmes gastro-intestinaux : douleurs abdominales, diarrhées, ulcères, qui peuvent affecter le système digestif du patient.
- Les médicaments immunosuppresseurs prescrits pour prévenir le rejet de la greffe, peuvent entraîner chez certaines personnes de l’hypertension et un risque accru de développer le diabète et certains cancers.
- La fatigue et faiblesse
Surveillance et prévention
La réussite d’une transplantation intestinale dépend en grande partie du suivi post-opératoire. Ces suivis médicaux réguliers permettent de surveiller tout signe de rejet du greffon et d’ajuster les médicaments immunosuppresseurs en conséquence.
Ensuite, la prévention des infections est aussi d’une haute importance. Après une greffe d’intestin, le système immunitaire est affaibli par les médicaments. Des traitements prophylactiques se révèlent donc indispensables pour prévenir les infections. Cela inclut des antibiotiques, antiviraux, et antifongiques. On parle de stratégies d’immunomodulation.
Comment se déroule l’opération ?
Préparation
- Première consultation accompagnée d’une série de tests médicaux pour évaluer l’état de santé général du patient. Elle inclut des examens sanguins, des imageries médicales et des évaluations fonctionnelles.
- Une préparation mentale avec des psychologues et des travailleurs sociaux qui aide à mieux se préparer mentalement pour la procédure.
Chirurgie de transplantation
- Le patient recevra une anesthésie générale et sera donc inconscient pendant toute la durée de l’opération.
- Le chirurgien lui retire l’intestin malade
- L’intestin du donneur est ensuite implanté et connecté aux vaisseaux sanguins et aux organes du receveur. Cette étape détermine le succès de la greffe.
- L’équipe chirurgicale vérifie minutieusement que le sang circule correctement dans le nouvel organe.
- Après la chirurgie, durant les premières 24 à 48 heures le patient est transféré en unité de soins intensifs. On surveille minutieusement ses signes vitaux, ses paramètres hémodynamiques et la fonction du greffon
Récupération et suivi
Pour détecter rapidement toute complication et assurer une bonne qualité de vie au patient, des visites régulières chez le médecin sont indispensables pendant plusieurs semaines après l’opération. Il est recommandé de réserver un hébergement près de l’hôpital.
Quels résultats pour une greffe intestinale en Turquie ?
Les résultats sont tout de même impressionnants. La greffe intestinale affiche en effet un taux de survie à un an de 80% dans les établissements turcs spécialisés. Ces chiffres sont le fruit de l’expertise des chirurgiens turcs. Mais, la qualité des soins postopératoires y joue aussi un énorme rôle.
Combien de temps rester en Turquie pour cette opération ?
Vous devrez rester en Turquie pour une durée totale comprise entre 7 et 11 semaines
- Arrivée 3 à 7 jours avant l’opération pour évaluations médicales et préparatifs.
- Hospitalisation post-opératoire entre 4 et 6 semaines.
- Consultations, tests et ajustement de traitement pendant 2 à 4 semaines.
Pourquoi faire une greffe intestinale en Turquie ?
La Turquie est devenue une destination favorite pour les greffes d’organes, y compris les transplantations de l’intestin. Et ce, pour plusieurs raisons :
- Ce sont des spécialistes hautement qualifiés, formés dans des institutions de renommée mondiale qui s’occupent des opérations.
- Les centres de transplantation sont gérés par des équipes multidisciplinaires dédiées.
- Ses technologies médicales de pointe permettent de prodiguer des soins de haute qualité.
- Nombreux hôpitaux turcs sont accrédités par des organismes internationaux
- Les soins, du diagnostic au suivi, en passant par les opérations à l’hôpital, sont moins chers que dans les pays occidentaux
- Le pays est bien desservi par des vols internationaux.
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Questions Fréquentes
Est-ce que la greffe intestinale en Turquie fait mal ?
Sous anesthésie générale, vous ne ressentez aucune douleur pendant l’intervention. Après la greffe, vous pourrez vous plaindre de douleurs abdominales. On vous prescrit généralement des antalgiques et des anti-inflammatoires pour les contrôler.
Quel est le taux de réussite d’une greffe intestinale en Turquie ?
Avec un taux de survie à un an d’environ 80%, les résultats obtenus en Turquie sont comparables à ceux des meilleurs centres de transplantation au monde. Ce qui explique le succès des greffes intestinales, ce sont l’expertise, le savoir-faire et surtout l’expérience des chirurgiens turcs.
Quel est le meilleur pays pour une greffe intestinale en Turquie ?
Le système de santé du pays est de très haute qualité. En outre, les équipes médicales sont hautement qualifiées, mais aussi extrêmement expérimentées. L’hôpital qu’on sélectionne pour vous est doté des équipements les plus modernes et il suit des protocoles de soins rigoureux. En outre, vous profiterez d’un suivi-post opératoire méticuleux.
Quel est l’âge minimum pour une greffe intestinale en Turquie ?
Chaque cas de greffe intestinale est évalué individuellement en Turquie. Divers facteurs sont pris en compte afin de déterminer l’éligibilité d’une personne à cette chirurgie. Et ce, de manière à garantir le succès de l’opération ainsi qu’une récupération optimale. Ainsi, peu importe son âge, le patient qui est éligible bénéficie des soins les plus adaptés à sa situation.
Quelle est la durée minimum de séjour en Turquie pour une greffe intestinale ?
Il faut prévoir au moins 7 semaines si vous comptez vous faire opérer l’intestin grêle ou le côlon en Turquie. Votre séjour peut s’étendre jusqu’à 11 semaines, voire au-delà. Le délai est variable d’un cas à l’autre. C’est surtout selon les conditions de santé du patient et les recommandations médicales concernant son état.
Quel est le risque d’une greffe intestinale en Turquie ?
Le rejet du greffon est le risque le plus courant. Les médecins notent aussi les infections dues aux immunosuppresseurs, et la thrombose. Les personnes greffées peuvent aussi se plaindre d’hypertension, diabète, douleurs abdominales, et fatigue à la suite de l’intervention. Les équipes médicales en Turquie sont assez bien équipées pour gérer ces complications. Leur objectif étant d’attribuer aux patients internationaux des soins de qualité.